domingo, 13 de março de 2011

É BOM NÃO ESQUECER ! . . .

LE FIGARO / PARIS

13-03-2011
Musée du génocide, Vilnius, Lituanie
Le site, mis en ligne vendredi, est consacré aux Européens qui ont été déportés dans les camps soviétiques entre 1940 et 1949.


Enregistrer, diffuser leur récit avant qu'ils ne s'éteignent. Tel est le leitmotiv du premier musée virtuel sonore des déportés européens des camps soviétiques. Son nom: «Archives sonores, mémoires européennes du goulag» qui est officiellement lancé vendredi.
Voici 160 témoignages. Des personnes âgées désormais de 75 à 94 ans, envoyées dans les camps et les villages de Sibérie et du Kazakhstan entre 1940 et 1949, lorsqu'elles étaient enfants. Chacune raconte son enfermement, la vie familiale qui l'a précédé, l'organisation sociale à l'intérieur du camp, l'élimination des espions, la nature de l'immensité sibérienne, la peur des loups, le froid, la solitude, la perte de son savoir, la stigmatisation, la ­reconstruction de soi après la libération. Les séquences visuelles et sonores durent moins de trois minutes, en version originale ou traduite en français, en anglais et en russe.
«Trois grandes vagues successives»
À l'origine de ce site Internet: le Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen de Paris (qui dépend de l'EHESS et du CNRS) et ­Radio France Internationale (RFI). Trois ans de recherches ont été nécessaires. Ce travail d'équipe a notamment associé 13 chercheurs européens de 15 pays (France, Allemagne, Belarus, Lettonie, Lituanie, Estonie, Hongrie, Italie, Kazakhstan, Pologne, ­Roumanie, Royaume-Uni, Russie, ­République tchèque et Ukraine).
«Cette histoire de la déportation ­soviétique en provenance de l'Europe est assez peu connue, regrette Alain Blum, directeur du Centre d'études. Il y a eu trois grandes vagues successives d'environ un million de déportés: la première en 1940-1941, celle de l'élite sociale des pays Baltes et d'Ukraine occidentale, la seconde à partir de 1944, de personnes supposées avoir collaboré et ­résisté à l'armée soviétique, et la troisième à partir de 1949, en provenance des mêmes pays, mais aussi de Roumanie, de Tchécoslovaquie, de Pologne et de Hongrie.»



NOTA : APESAR DE PODEREM EXISITIR PESSOAS QUE DIGAM QUE O " GOULAG " TAMBÉM, NUNCA EXISTIU, SERIA BOM NÃO ESQUECER QUE, GENOCÍDIOS, MESMO NA EUROPA, NÃO FORAM EXCLUSIVIDADE DE NAZIS !



O QUE CUSTA A CRER, É QUE AINDA HOJE HAJA PESSOAS QUE VENERAM OS RESPONSÁVEIS POR ESTAS ATROCIDADES, E OUTRAS, QUE NEGUEM OS SEUS CRIMES CONTRA A HUMANIDADE.



PARA NÃO ESQUECER !

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